La FENAGRI, ne pouvant se substituer aux associations qui la constituent, doit se focaliser sur les mesures transverses concernant les produits alimentaires de 1ère et 2ème transformation ce qui exclut, de facto, les produits agricoles.
Ce plan d’action a pour objectif de donner de la visibilité aux acteurs de l’Agroalimentaire afin de favoriser leur croissance et les investissements dans le secteur, qu’ils soient d’origine locale ou étrangère (IDE).
Objectif : réduire le différentiel entre les produits agricoles et les produits agroalimentaires.
La FENAGRI demande la baisse du taux de TVA maximum de 20% à 14%.
Saisie des pouvoirs publics concernant deux points :
--> Demande d’un cadre limité dans le temps pour accompagner les associations qui le désirent.
-->Dans le cadre de la refonte du système douanier, demande d’un alignement des droits de douanes payés entre les produits importés dans le cadre d’accords de libre échange et les mêmes produits fabriqués localement.
Maintenir la vigilance en créant une liaison directe avec l’office des changes de façon à maintenir l’observation des produits importés des chapitres 1 à 24
La FENAGRI met à la disposition de ses adhérents les statistiques en sa possession.
La FENAGRI accompagne l’ONSSA et le SNIMA sur les chantiers de la normalisation et de la réglementation.
Le principe d’équité et de sécurité sanitaire doit s’appliquer à tous les produits y compris ceux importés et ceux de l’informel.
La mise en application de la Loi 28-07 soulève plusieurs problématiques, en particulier le principe d’obtention d’autorisation ou d’agrément pour exercer.h
Les accords de libre échange doivent accompagner le développement de l’industrie agroalimentaire :
--> Axer la dynamique sur une logique de marché plutôt que sur une logique d’offre,
--> Ouvrir les marchés où le Maroc a une carte à jouer, tel que les pays du sud (exclus pour le moment).